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Gardel, la vraie histoire

19 mai 2009

La corde du mensonge est courte

Pasaporte_n_tido

La légitimité de la documentation officielle de Carlos Gardel.

Il est compréhensible que le peuple uruguayen se sente agressé par le comportement d'historiens prétendus (heureusement de moins en moins et en voies d'extinction) qui sont capables d'une indécence intellectuelle telle, qui ne respectent ni des charges accréditées, ni des frontières ni de barrières idiomatiques et dont ils ont compromis dans son actionner des personnes décentes comme Monique Ruffié de Saint Blancat et Georges Gallopa, dans une erreur malintentionnée en altérant une documentation, avec la prétention de mésestimer les documents uruguayens de Gardel pour faire valoir les documents de Charles Romuald Gardes et ainsi le confondre avec Gardel.

Cette manœuvre malintentionnée peut être observée clairement à la page du livre dont le lien je pourvois :

http://sites.google.com/site/eluruguayocarlosgardel/fantasias-y-falsedades/manipulacion-de-juan-carlos-esteban

où est observée avec clarté l'altération de l'ordre des articles corrélatifs de la loi 3028 3030 de 1906, pour présenter comme invalides les documents uruguayens de Gardel.

Les documents uruguayens de Gardel, avec lesquels il a été nationalisé argentin, sont parfaitement estimés et ont été accrédités par des autorités compétentes.

Ou bien, en parlant dans une forme simple, ces argentins « francesistes » se sont occupés pendant toutes ces années à maintenir le mensonge de l'origine française de Gardel imaginé par Défino, en supprimant, en altérant, en modifiant, en cachant et en trompant.

Ils n'ont pas eu d’ embarras en compromettre des personnes honnêtes, en accuser Gardel de déserteur et de traître à la patrie, en maltraiter et en insulter ceux qui n'étaient pas d’accord avec sa "théorie".

La question est : pourquoi ?. Est-il parce qu'ils préfèrent croire Gardel, le fils d'une repasseuse française de douteuse morale, à un descendant de Carlos Escayola, aussi d'une morale douteuse. Ils préfèrent sûrement que Gardel soit de n'importe quelle nationalité avant qu'uruguayen, il y en a dans Buenos Aires des êtres capables d'une vilenie incommensurable. voici un clair exemple :

Le livre, CAR-GAR LOS-DEL [LES CHARGER DE (jeu des mots)], du greffier Freddy González Araujo, réaffirme la légitimité de la documentation du chanteur Carlos Gardel, uruguayen, né à Tacuarembó et nationalisé argentin, expédié par le Consul de

la République Orientale

de l'Uruguay dans

la Ville

de Buenos Aires - République Argentine, le 8 octobre 1920, dans un accomplissement disposé par

la Loi

3030 d'Organisation du Corps Consulaire de

la République.

Dr. Charles Arezzo Posada, avocat, Président de

la Fondation Carlos

Gardel, dans le prologue du livre, après avoir dit que, par sa condition de notaire, son auteur a pu élaborer un raisonnement de coupure juridique, faire une analyse honnête et manier avec un critère sain l'interprétation de la documentation publique et privée de Gardel, ajoute :

"Nous apprécions cet aspect, puisque le sérieux employé confine aux raisonnements recherchés et dénaturés, comme les employés par les auteurs de la thèse officielle. - un clair exemple de cette interprétation disqualifiée et insistante, surgit nouvellement d'un livre récent :" Charles Gardel, ses antécédents français ", où les auteurs (Ruffié, Esteban et Gallopa essaient de donner un caractère provisoire au registre de nationalité de Gardel de 1920, dans le Consulat Uruguayen à Buenos Aires, en interprétant en une forme erronée une disposition du décret réglementaire de la loi N º 3030, en confondant à propos la norme habilitante pour le registre de la nationalité, avec le certificat qui était expédié pour justifier telle inscription.-"

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17 mai 2009

DOCUMENTS À L’APPUI DE SON ORIGINE

cartaciudadania

DOCUMENTS À L’APPUI DE SON ORIGINE

Officiels

a) Le 8 octobre 1920 auprès du Consulat Uruguayen à Buenos Aires, suivant les démarches prescrites par la loi d’Organisation Consulaire du 21 mai 1906, il déclara être né à Tacuarembó le 11 décembre 1887, fils de Carlos et Maria, uruguayens et décédés tous les deux.

b) Carte d’Identité No 383017 expédiée à Buenos Aires le 4 novembre 1920.

c) Carte de Citoyenneté argentine No 218125 expédiée le 7 mars 1923.

d) Livret de Recrutement Mat. No 236.001daté du 21 juin 1927.

e) Carte Valable (autorisation pour travailler) expédiée à Paris le 16 mars 1931.

f) Passeport registre No 02421 expédié par le consulat argentin à Nice le 13 décembre 1932.
g) Écrit Public obtenu le 31 octobre 1933 pour l’acquiert de trois terrains sur la plage «

La Mulata

» à Montevideo.

h) Carte d’identité pour étrangers expédiée le 23 avril 1935 lors de son arrivée au Venezuela en provenance de Porto Rico.

i) Acte de décès expédié en juin 1935 par le bureau du Cadastre et de Statistiques de la mairie de Medellin (Colombie).

Tous ces documents attestent et prouvent que Tacuarembó est bien la ville de naissance du chanteur.

Journaux

a) le 24 juin 1915 le journal « El Tiempo » de Montevideo mentionne le duo Gardel- Razzano en les désignant comme les « jeunes compatriotes » lors de leur début à l‘ancien théâtre royal.

b) Le 1 octobre 1933 le journal «

La Tribuna Popular

» publie un reportage où il déclare : « Je suis né à Tacuarembó ce qu’il ne faut pas préciser car tout le monde le sait ».

c) Le 4 octobre 1933 il signale à nouveau qu’il est né à Tacuarembó et qu’il a 46 ans, cette fois-ci pour le journal « Imparcial ».

d) Interviewé par « El Telégrafo » de Paysandú il précise : « puisque vous insistez, oui je suis uruguayen né à Tacuarembó »

e) Parution d’une interview dans le journal « Imparcial » mené par Segundo Bresciano, où la naissance uruguayenne de Gardel et son penchant pour le public de ce pays sont constamment remarqués.

A noter que Gardel ne se borne pas à dire qu’il est uruguayen mais il tient toujours à préciser le lieu exact de sa naissance : la ville de Tacuarembó.

17 mai 2009

Defino a été le seul à fêter la mort de Gardel

Gardel__sus_guitarristas_y_Bonapelch_con_el_presidente_TerraGardel avec le Président Terra, d'Uruguay

Le retour, bien que ce n’a pas été un retour mais l'acceptation, de Carlos Gardel dans le sein de la famille Escayola, a été interrompu par l'accident fatal qui a emporté la vie du chanteur. Carlos a toujours su de son origine, déjà d'un enfant et au soin de une femme française; sa vraie mère Marie Lelia, faisait tout de son possible pour avoir des nouvelles de l'enfant arraché de son sein à peine né. Se sachant le fruit d'une relation défendue, il essayait de ne pas parler du sujet, surtout avec la presse qui en soupçonnant une histoire secrète, le poursuivait avec des questions indiscrètes. Mais en même temps il repoussait l'idée d’être pris par le fils de l'employée qui le soignait, qui peut intimement connaître la relation qui les unissait!. Il est certain qu'il n'a jamais été photographié avec Berthe et il s'est occupé à s'éclaircir , plus d'une fois, qu'elle elle n'était pas sa mère mais sa tutrice. De toutes manières il n'en est pas incompréhensible qu'il aille confectionné, forcé par Defino, ce testament olographe en faussant son identité pour laisser Berthe Gardes ses biens, il n'imaginait pas sûrement l'imminent de son décès et déjà il aurait le temps de éclaircir les choses. Celui qui n'avait pas de temps était Defino, qui voyait avec frayeur la possibilité de voir passer la fortune de Gardel en face de son nez et de ne pas toucher d'un sous s'il n'agissait pas avec vitesse. Les démarches pour l'introduire formellement au sein de la famille Escayola étaient déjà très avancées, le même président Terra de l'Uruguay collaborait pour que cela arrivât : Les Netto Escayola avaient déjà affranchi la sente du retour à la famille de Carlos Gardel. Par l'intermédiaire du Ministre de la défense National Domingo Mendivil, apparenté a Escayola, il a été coordonné en Octobre 1933 "un récital dans le privé" de Gardel pour le Président Gabriel Terra et ses relatifs. Au préalable avaient fourni au Dr. Terra tous les détails de sa vraie histoire que le même Gardel s'est chargé de le confirmer. Le Président, par la suite à cette réunion aux portes fermées, exprimerait : "Gardel m'a raconté son histoire, j'ai fait comme que je ne la connaissais pas". L'esprit de la rencontre a été, ni plus ni moins, commencer à faire les vérités de ses racines publiques. Et 'il a été tel, puisque à peu de cette réunion et en le même Octobre 33, Gardel devant le Journal "le Télégraphe" de Paysandú et la "Tribune Populaire" de Montevideo manifeste "être Uruguayen et de Tacuarembó", en affirmant aussi dans ces jours son origine uruguayen devant le Greffier compétent, en faisant la signature des écritures du terrain pour sa maison à Carrasco. Il n'a pas évidemment prêté d'importance au testament olographe, puisqu’il s’agissait d'un papier manuscrit signé sans la présence d'une autorité compétente. Avec le premier pas du retour déjà donné, il s'embarquerait vers sa tournée fatale. Gardel mort , le Président Terra dispose que les formalités pour rapatrier ses restes s'initient … et le testament olographe de Defino surgit.

http://www.fotolog.com/orientalazo/18956848

fotolog de la famille de Gardel

Toutes les affirmatrions dans ce texte ont un suppot documentaire soit documents oficiels, journaux ou témoinages écrits.

16 mai 2009

Carlos Gardel, ses origines

fotosilva

Carlos Gardel, est né, selon les références consignées par les enquêteurs uruguayens , d'une union adultérine au sein de la famille du Chef Politique de Tacuarembó au début de la décennie de 1880 (sûrement entre 1882 et 1885). Les caractéristiques de la dite naissance ont fait que l'enfant soit retiré du sein de cette famille et livré au soin d'une jeune fille française, Berthe Gardes, liée sentimentalement a Escayola et nourrie par celui-ci.

La dite jeune fille a laissé Tacuarembó enceinte de un tel Romualdo, fils d'un fermier influent de la zone, devant la possibilité que l'enfant qui portait dans son sein fit soustrait par la famille paternelle. Cette circonstance a été mise à profit par le Colonel pour se livrer de celui qui était déjà connu comme "guachito Escayola" (petit enfant sans parents qui habite chez Escayola) et dont la présence signifiait le permanent revivre du sordide épisode, afin de le déplacer loin de ses terres.

On suppose que l'enfant aurait par alors six ou sept ans et aurait été jusqu'alors au soin de personnes de confiance de Escayola comme Manuela Casco, servante à la “Estancia Santa Blanca où Carlitos serait né et de la propre Berthe Gardes.

Il serait à 1890 l’epoque qui consigne l'arrivée du futur chanteur à notre ville de Montevideo. Il est resté, au soin de une autre française amie de Berthe, Anais Beaux, et aussi de Marie Escayola une "Noire", cousine de l'enfant, grâce à ce que Berthe avait décidé de voyager en sa France natale pour donner naissance à son enfant en comptant sur la protection de son environnement familier.

Il n'est pas possible savoir certainement qui était le prénom de l'enfant à l'époque, mais les recherches réalisées indiquent qu’il aurait asisté à une école du quartier sud dans la rue Durazno et Médanos sous le nom de José Oliva et avec la tutelle du militaire Pierre Oliva, un parent de sa mère.

Mario Azzarini Scoseria

à continuer...

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